Frédéric Werlé

Entré au conservatoire National de Région, chez Mr et Mme Auburtin à Metz, Frédéric Werlé poursuit sa formation au Centre de Danse International Rosella Hightower à Cannes et au Centre National de Danse Contemporaine à Angers avec Viola Farber.

Danseur chez plusieurs chorégraphes (Régine Chopinot, Philippe Decouflé, Josette Baïz, Marcia Barcellos et Karl Biscuit, Angelin Preljocaj, Georges Appaix...), il chorégraphie maintenant pour et avec la Compagnie IRITIS.

Il y chorégraphie des spectacles vivants où l’écriture chorégraphique se laisse surprendre par de l’instantanée avec une quinzaine de créations dont “La véritable et très véridique histoire d’amour de Carmen Dragon et Louis Loiseau”, “J’aimerai savoir ce que tu me dis en me regardant”, “Coeur d’Artichaut” pour le Bal Moderne 1996, “1 ZESTE 2” en co-auteur avec Bruno Sajous, “Kitchen Attitude”, “My Macbetish”, et actuellement “Nijinskoff”.
Frédéric Werlé participe de 2002 à 2004 à l’Atelier de Recherche Expérimentale et Physique du CNCDC de Chateauvallon.
En 2006, il obtient le diplôme d’état en danse contemporaine et est lauréat de l’association Beaumarchais qui publie “Journal d’un danseur et feuilles volantes” de Frédéric Werlé.

Il invente et coordonne des évènements comme “Danse à tous les étages” au Théâtre de L’échangeur à Bagnolet, “Danse au sous-sol” au Théâtre Contemporain de la Danse à Paris, “Éventaire Cosmique” pour le Festival de St-Denis et la Compagnie DCA, “Macadam Apache” pour la RN 2000, “Galasystem” avec le Centre National de la Danse à Pantin, et des rendez-vous vidéographiques et dansants comme “Les Bobines du Jeudi” en 2002 en tant que directeur artistique de la Chaufferie / DCA et “Mixture” à La Chapelle Fromentin / BARC / de 2006 à 2008.

IRITIS, c’est le mélange de la danse, du mouvement,
du jeu, des mots,
de l’intime,
du social,
de la poésie,
du rêve,
de la tragédie du quotidien. L’éventaire
de ce qui se digère
et de ce qui ne se digère pas,
le bruissement de l’air
sur la peau,
l’équilibre dans le déséquilibre, la cerise sur le gâteau,
la bouillabaisse de nos désirs
et de nos différences.