Depuis la création de leur compagnie l’Esquisse en 1980, Joëlle Bouvier a co-signé avec Régis Obadia 15 œuvres chorégraphiques diffusées dans le monde entier et co-réalisé 4 court-métrages, primés dans de nombreux festivals (FIPA d’Argent - Sélection officielle au festival de Cannes 1989...) et réalisé plusieurs clips vidéo dont Casser la Voix, de Patrick Bruel (Victoires de la Musique 1990 et Starclip 1990).
Elle a été co-directrice du CCN du Havre de 1986 à 1992, et du CNDC d’Angers de 1993 à 2003.
En 1993, elle réalise seule Le Pressentiment, court-métrage qui obtient le Grand Prix du Festival de Grenoble et le Prix de la Recherche du Festival de Montecatini.
En 1998, elle s’engage dans une démarche de création indépendante. De nombreuses pièces ont vu le jour depuis.
En 1999, elle crée Où en est la nuit, pièce pour 11 danseurs de l’École supérieure du CNDC l’Esquisse, puis Fureurs, au Festival Montpellier Danse en juin 1999 et le solo, Dépêche-toi ! au Festival de Danse de Marseille en juillet 1999.
En novembre 2000, Joëlle Bouvier réalise pour le jeune public L’Oiseau Loup à Sartrouville, qui a été présenté plus de 100 fois, en France et à l’étranger. En septembre 2002, avec 8 danseurs, elle crée De l’Amour, coproduit par la Scène Nationale Les Gémeaux / Sceaux, comme toutes ses créations depuis cette date.
Invitée par Françoise Letellier, directrice de la Scène Nationale Les Gémeaux , Joëlle Bouvier est en résidence de création à Sceaux depuis janvier 2004. Elle crée Le voyage d’Orphée en mars 2004, puis son solo Face à Face en mai 2006, coproduit par le Théâtre de la Ville, Paris.
En octobre 2003, elle est invitée par Didier Deschamps, directeur du CCN - Ballet de Lorraine, pour réaliser Jeanne d’Arc, création pour 10 danseurs qui connaît un grand succès, puis en 2006 La Divine Comédie, pièce pour les 29 danseurs du ballet sur le thème de l’Enfer de Dante.
2004, elle crée la Cie Joëlle Bouvier et s’installe en résidence de création à la Scène Nationale des Gémeaux, à Sceaux de 2004 à 2008.
Elle crée Le voyage d’Orphée en mars 2004.
Puis un solo Face à Face en mai 2006, coproduit par le Théâtre de la Ville, Paris.
En octobre 2003, elle est invitée par Didier Deschamps, alors directeur du CCN - Ballet de Lorraine, pour réaliser Jeanne d’Arc, création pour 10 danseurs, puis en 2006 La Divine Comédie, pièce pour les 29 danseurs du ballet sur le thème de l’Enfer de Dante.
2009 création de Dolls pour 5 danseurs Hip Hop, au festival Suresne Cité Danse, puis Roméo et Juliette, première collaboration avec le Ballet du Grand Théâtre de Genève.
2011 crétion de What about love, pour la Korea National Contemporary Dance Company de Séoul.
2012 Création de Avà o Homen que caminha, pour la Cia Sociedade Masculina de Sao Paolo, au Brésil.
2015 elle retrouve le ballet du Grand Théâtre de Genève pour la création de Tristan & Isolde - Salue pour moi le monde, sur la musique de Richard Wagner
Ce spectacle a remporté le GRAND PRIX de la critique 2016.
En 2016, elle reprend Jeanne d’Arc pour le Ballett Theater Basel.
2017 création d’un spectacle événement pour l’inauguration du 1er musée Camille Claudel, à Paris.
En 2018, Joëlle Bouvier crée ODISSEIA pour la Sao Paulo dance company.
Elle collabore à la création de VxH - La voix humaine, de Cocteau, spectacle de Roland Auzet, avec Irène Jacob.
Parallèlement à son activité de création, Joëlle Bouvier est invitée à réaliser des projets événementiels comme l’animation des vitrines du Grand Magasin Le Printemps à Paris en mars 2002, et en juin 2007. En août 2006, elle réalise une performance pour le lancement d’un nouveau produit cosmétique chinois, qui s’est déroulée au Palais des Congrès à Paris, puis en Chine.
Elle a été la chorégraphe des Bacchantes, créé en février 2005 à la Comédie Française dans une mise en scène d’André Wilms.
Joëlle Bouvier a reçu le GRAND PRIX de la Danse SACD, une victoire de la musique pour la réalisation du clip vidéo Casser la voix de P Bruel, elle est officier des Arts et Lettres et en 2016, elle reçoit le GRAND PRIX de la critique pour Tristan & Isolde-Salue pour moi le monde.