samedi 6 mai à 20h30 | Friche la belle de mai
une mystérieuse Chose, a dit e.e.cummings
production Culturgest, Lisbonne, Production
exécutive Forum Dança, avec le soutien de Casa
da Juventude de Almada, Re.Al /Amascultura.
Spectacle créé en 1996.
Peut-être elle pourrait danser dabord et penser ensuite
production Pós d’Arte, avec le soutien financier de l’Instituto da Juventude, et le soutien de la Companhia de Dança de Lisboa.
Spectacle créé en 1991 pour le festival Europalia et programmé par marseille objectif DansE en 1995.
Olympia
remerciements à Ana Mantero et Miguel Ângelo Rocha.
Spectacle créé en 1993.
La compagnie O Rumo do Fumo est soutenue par le ministère de la Culture du Portugal - Directorate - General for the Arts.
marseille objectif DansE propose, à la Friche la Belle de Mai, 3 pièces conçues et interprétées par Vera Mantero.
une mystérieuse Chose, a dit e.e.cummings
conception et interprétation Vera Mantero maquillage Alda Salavisa d’après une création originale de Carlota Lagido accessoires Teresa Montalvão création lumière João Paulo Xavier adaptation lumière et régie Hugo Coelho.
Peut-être elle pourrait danser dabord et penser ensuite
conception et interprétation Vera Mantero décor André Lepecki création lumière João Paulo Xavier adaptation lumière et régie Hugo Coelho musique Ruby, My Dear par Thelonious Monk costume Vera Mantero
Olympia
conception et interprétation Vera Mantero création lumière João Paulo Xavier adaptation lumière et régie Hugo Coelho texte Jean Dubuffet musique extraite de Bakma Pygmy musique Cameroun
Dans le cas de Peut-être elle pourrait danser d’abord et penser ensuite (1996), un lien très fort se tisse entre la danse et la répétition du morceau de Thelonious Monk, Ruby, My Dear. L’état de rupture, de contraste que produit le corps dans cette pièce correspond assez bien aux dérives mélodiques de Monk.
À l’origine de one mysterious Thing, said e.e.cummings (1991), il y a la figure de Josephine Baker, à laquelle s’est ajoutée la figure du Faune, puis le texte. Là aussi, il s’agit d’une pièce entre plusieurs temps, plusieurs univers…
Olympia (1993) fait résonner le texte de Jean Dubuffet, Asphyxiante culture, à l’intérieur d’un cadre performatif qui expose la figure du tableau d’Édouard Manet.
« Je cherche moins à savoir si ce que je produis est de la danse ou pas, qu’à tenter d’autres corps débarrassés de stéréotypes, d’habitudes, de mouvements conformes. Sur le plateau, on peut expérimenter, rechercher des états perdus ; alors la danse, telle que je la conçois, c’est peut-être cela : travailler sur ce que l’on a perdu. »
avec le soutien de l’Onda - Office national de diffusion artistique